HIVERNALE 10/11 MARS 2012 EGLISENEUVE D’ENTRAIGUES

Ce samedi matin là, les 4 participants présents au départ, place du Château, n’ont pas vraiment l’impression de partir vers le froid. Malgré quelques degrés seulement au début, la température atteindra une vingtaine de degrés, avant de redescendre le soir. N’oublions pas : c’est une hivernale (!!!!).

            Philippe nous fait d’abord découvrir de nouvelles petites routes, jusqu'à Périgueux. Le bonheur, pas de circulation, pas de radars … Ensuite, passage à Sarlat, Souillac, Vayres, Bretenoux, puis pose repas à Martel. Une terrasse au soleil fera l’affaire. Pas mal pour un début mars !! Une fois repus (c’est le cas), nous reprenons la route (petite), en direction d’Aurillac, que nous contournons, puis Salers. Une petite mousse en terrasse (encore), et c’est reparti pour le col de La Neronne (1242m), affiché comme ouvert. Oui, c’est vrai, mais  quelques centaines de mètres plus loin, la route est encore enneigée. Demi-tour, car nous n’avons pas d’autre solution. Bah, nous ne sommes pas à 30 kms près ! Finalement, l’arrivée sera  vers 18h45, avec environ 430kms au compteur. Même pas fatigués, tellement nous nous sommes régalés.

            L’accueil chez Bernadette et Arsène fut rapide : les bagages posés sur les tables du bar et…au Bar !! Au bout de quelques tournées d’apéro (un peu de savoir vivre tout de même), il devient nécessaire de manger, et ici nous savons ce que c’est : convivial et copieux. En fin de repas nous discutons avec Arsène, pour  finalement aller nous coucher peu après minuit, un peu fatigués, cette fois.

            Dimanche matin : un bon petit déjeuner, le plein de Saint Nectaire, quelque adieux, et c’est reparti, avec 3° seulement, et un peu de brouillard. Passage à Besse, la route est humide, voir piégeuse. Méfiance. Ensuite Murol, Aydat, Herment. A partir de là, ce ne sera que succession de virages, jusqu’à Eymoutiers, le tout sans aucune circulation. Le pied !!

            Pause déjeuner à Eymoutiers. Cela ne restera pas mémorable, mais nous ne sommes pas venus dans ce coin pour  la gastronomie. La dernière partie du retour fut la plus simple du périple mais qu’importe, l’ensemble nous a satisfait. A l’arrivée à Jonzac, un dernier verre au « Jonzacais » nous a permis de commenter notre périple, avant de rejoindre nos « moitiés ». A quand la prochaine ???

 

                                                                                                                      JB